Kwame Ba

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Danseur depuis ses premiers pas sur terre, il commence à pratiquer dès l’enfance sur des rythmes africains. Il diversifie ses expériences en s’entraînant à la danse classique, au modern jazz et à la salsa avant de se tourner sérieusement vers le Hip Hop debout, un changement radical sans son univers d’adolescent en Martinique.

 

Des Etats-Unis à l’Espagne, en passant par la France, Kwame vit sa danse et varie ses expériences en enchaînant tour à tour battles, cyphers et autres évènements. C’est d’ailleurs à l’occasion d’un voyage à New York qu’il a découvert la House en 2020 et qu’il l’intègre à sa pratique Hip Hop.

 

Il précise qu’on ne parle pas de battle de house mais bien d’échange et c’est ce qui jalonne son travail de transmission : échanger et progresser dans une discipline où chaque pas est une histoire, l’énergie mise en avant, sur une musique envoûtante !

 

A propos de la House

 

Née à la fin des années 70’s des rythmes électro, La House s’écoute essentiellement en club aux Etats-Unis. Elle se développe plus particulièrement dans les clubs new yorkais des années 1980 et se traduit par un riche mélange de pas d’origines très diverses : Salsa, Afro, claquettes… Cette danse se reconnaît par un style léger et aérien.

 

Peu connu des écoles de danse à l’origine, le style, en danse comme en musique, émerge du milieu underground et produit une communauté de danseurs très diverse.

 

En effet Bboys, danseurs de Hype, de salsa, de tango , de rock etc., tous se réunissaient dans un esprit de famille en adaptant leurs pas à la rythmique house. C’est pourquoi la tendance revêt aujourd’hui des influences latines, électronique, africaine, jazz, blues et subsiste en tant que culture profondément liée à celle du Hip Hop de par ses fondations et ses valeurs.

 

Quelques références

Ses principaux précurseurs furent le jacking’, le footwork et le lofting. Le jacking’ est né dans le courant des années 1970-1980 sur la côte Est américaine. Il existe quantité de morceaux qui y font référence comme « Time to Jack », « Jack your Body », « Jack the house » mais également des noms d’artistes, « Farley Jackmaster Funk », Jackmaster Dick », …

A New-York, le jacking’ était également appelé hip-house en référence aux danseurs de hip hop qui dansaient sur de la house music dans les clubs new-yorkais. Il existe également d’autres styles, tels que le wacking, le hustle, le locking ou encore le loft style.